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Métropôle Aix Marseille Provence
14 novembre 2012

LE GRAND ORAL DU PRESIDENT

EN DIRECT - Hollande : "J'ai connu des situations tellement plus difficiles"
Mis en ligne le 13 novembre 2012 à 15h30, mis à jour le 13 novembre 2012 à 20h20
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    Hollande face à la presse : ce qu'il a dit
Tags :  françois hollande , jean-marc ayrault , stéphane le foll , réformes , ump , tva , ps

Pour sa première grande conférence de presse, François Hollande a rappellé ses engagements et les premières mesures de son quinquennat : compétitivité, chômage, gaz de schiste, mariage homosexuel ou encore les déficits. Un grand rendez-vous à suivre en direct sur TF1News.

Face à une crise qui dure, à une confiance des Français en baisse et à une série de sondages en berne, François Hollande compte sur sa conférence de presse de mardi pour inverser la tendance. Elle débutera à 17 heures à l'Elysée, et TF1News la suit en direct tout au long des deux heures que doit durer l'exercice, crucial pour le chef de l'Etat. Au menu : une "adresse" du président aux Français, d'une vingtaine de minutes ; à la suite de quoi François Hollande répondra aux questions des journalistes.

19h27 : La conférence de presse prend fin. François Hollande va saluer les journalistes dans la salle.

19h26 : "Sur la réforme du statut des fonctionnaires, il n'est pas question de revenir sur le statu, ni pour le fonctionnaires de l'Etat, ni pour les fonctionnaires territoriaux".

19h25 : Nord du Mali : "un dialogue politique est engagé".

19h20 :  Une question sur les otages Français en Afrique.6 Français sont retenus au Mali et un en somalie. François Hollande indique que "yous les contacts sont pris, toutes les recherches sont engagées, même si nous savons que c'est très difficile". "Nous n'allons pas mettre en cause la politique de la France, donc sa sécurité".

19h14 : Quel est le nouvel cap de l'Europe, demande un journaliste. "Le mécanisme européen de stabilité est aujoud'hui en marche", explique le chef de l'Etat.

19h10 : Une question d'une journaliste chinoise : "Quelles sont vos stratégies et vos relations avec l'Asie ?" "Nous devons poser des règles de réciprocité commerciale, de protection d'un certain nombre de nos technologies", a indique le chef de l'Etat.

19h05 : Une question est posée sur Aurore Martin. "A aucun moment, je n'ai donné une consigne pour qu'elle soit contrôlée par qui que ce soit", indique le chef de l'Etat. "Aurore Martin relève maintenant de la justice espagne".

Les condamnations avaient afflué après l'interpellation de la militante de Batasuna Aurore Martin, première Française remise à l'Espagne dans une affaire basque, de nombreuses critiques visant ouvertement le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

19h00 : "La Grèce a fait l'effort qui lui avait ét demandé et ne peut pas faire davantage. Reste une question : comment accorder un délai à la Grèce sans que cela coûte quoi que ce soit ?", explique-t-il.  

18h59 : Place à une question d'un journaliste du New-York Times sur la dette en Europe.

18h54 : Après la Syrie, une question sur le Mali. "La situation était suffisamment grave pour aider les Africains à s'organiser pour faire à cette menace" d'AQMI. "En aucun cas, la France n'interviendra seule au Mali".  

18h52 : Concernant une possible intervention en Syrie, il indique qu''il n'y aura d'intervention que si la convention le souhaite". 

18h50 : "Une coalition s'est formée. La France reconnait la convention nationale syrienne, comme le futur gouvernement de la Syrie démocratique". "Partout où des zones libérées auront été constituées, elles devront être sous cette autorité", explique-t-il.

18h40 : "Nous nous parlons franchement avec la chancelière" et "personne ne fait de leçon à personne", indique-t-il. "Je suis pour que la zone euro devienne une force en tant que telle", ajoute-t-il.

Lire les détails sur la question de l'Allemagne : Hollande assure que les relations avec l'Allemagne sont bonnes.

18h37 : Une question est posée sur les relations franco-allemande, alors que François Hollande a essentiellement parlé de politique intérieur.

18h30 : "Nous allons vivre une hausse continue du chômage pendant un an. Cela va être difficile à vivre". Mais "il y aune négociation historique sur le marché de l'emploi", assure-t-il. "Je reprends l'objectif" d'inverser la courbe du chômage d'ici à fin 2013".

Concernant le rapport Gallois : "Coût du travail : si nous avons demandé un rapport à M.Gallois, ce n'est pas pour écarter la question".

18h25 : "Je respecte la liberté de presse", indique-t-il après une question sur les mauvaises "une" des journaux ces derniers mois.

18h16 : Où le chef de l'Etat compte faire des économies ? "C'est une réforme de l'Etat, de la protection sociale et de notre organisation territoriale". "J'ai pris l'engagement de créer des postes dans l'éducation, il y aura des suppressions ailleurs", ajoute-t-il.

18h15 : A la question de savoir quel Président il est, François Hollande répond : "Je suis un Président qui ne veut pas opposer les Français entre eux", "un président qui n'est pas chef de parti".

18h10 : Au tour de notre journaliste de TF1 et de LCI de poser une question concernant la séance houleuse au Parlement cette après-midi. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

Hollande demande à Valls et à la droite de ne pas se diviser sur le terrorisme. 

Lire les détails : Terrorisme : après les propos de Valls, Hollande appelle à l'unité.

18h08 : Une question est posée sur une de ses promesses de campagne : le droit de vote des étrangers : "Ce n'est pas le Président de la république qui décide du droit de vote". Il attend qu'une "majorité sera constituée".

Lire les détails : pas de droit de vote des étrangers sans majorité des 3/5.

18h05 : Une question est posée sur sa politique énergétique. "Gaz de schiste : il y a eu une moi en 2011", indique-t-il. Hollande demande aux Verts et aux Radicaux de gauche d'être "solidaires". Hollande rappelle que la recherche d'autres techniques "continue".

Lire les détails : Gaz de schiste : Hollande ferme mais pas définitif.

18h : François Hollande a renouvelé sa confiance à son Premier ministre."Jai choisi Jean-marc Ayrault car j'ai une grande confiance en lui, (...) Il est loyal, sérieux, dévoué, dévoué à la cause puiblique, et sérieux. Il est maire d'une grande ville", a-t-il indiqué. "Je lui renouvelle ici toute ma confiance", précise le Chef de l'Etat.

Lire les dérails : Pour Hollande, Ayrault est "sérieux, loyal, dévoué et concret"
 

> Voir l'extrait vidéo :

17h54 : "Je n'ai pas été élu sur une promesse vague (...)", explique-t-il. Je suis un Président pleinement responsable, mais qui ne décide pas de tout".

Evoquant les sujets de société, il indique que pour le "mariage homosexuel : ce texte viendra au Parlement". 

17h51 : Seconde question d'un journaliste sur la rassemblement des Français.

17h50 : "Pas de pause, pas de renoncements, assure-t-il. J'assume devant les Français".

17h48 : Après 45 minutes de discours, les journalistes commencent à poser leurs questions.

17h44 : "Le redressement prendra du temps", dit-il.

17h40 : "Le renouveau passe aussi par la démocratie", par la "modernisation de la vie politique", et l'"indépendance de la justice", explique François Hollande.

17h35 : "Nous devons agir et je le fais dans l'urgence, c'est le but des emplois d'avenir".

17h34 : "Toute ma stratégie, c'est une mobilisation contre la chômage", indique-t-il. "Tout a été dit, mais tout n'a pas été tenté", selon lui.

17h31 : "Nous poursuivrons les réfomes structurelles, c'est -à-dire celles qui concernent les banques". La réforme "séparera les activités de dépôt, de crédit, que les Français connaissent, qui les rassurent, de celles liées à la spéculation, qui les inquiètent", a dit François Hollande. "Elle interdira aussi les produits toxiques et mettra de l'ordre dans les rémunérations comme dans les bonus."

17h27 : François Hollande aborde la mesure polémique de la hausse de la TVA. Il annonce "une restructuration des taux de TVA, au 1er janvier 2014, qui va passer de "0,4 %, 19,6 à 20 %". La TVA dans la restauration fixée "une fois pour toutes" à 10%.

Lire les détails : TVA, impôts.. Les explications de François Hollande.

17h25 : "Ce pacte s'étalera sur trois ans".

17h24 : "On m'avait dit, il faut faire un choc, ça faisait chic parait-il. Un choc, mais l'économie n'aime pas les chocs".

17h20 : François Hollande insiste sur la compétitivité. Il évoque le crédit d'impôts de 20 milliards d'euro accordé aux entreprises, un crédit "qui aura un effet immédiat dès le 1er janvier", selon lui. "Ce n'est pas un cadeau, mais un levier qui offre aux salariés un moyen de traverser la crise". "C'est un pacte de confiance, ajoute-t-il. Ce pacte sera simple, sans formalité administrative".
>Lire les détails de sa déclaration sur la compétitivité : "La compétitivité, c'est l'emploi". 
> Voir l'extrait vidéo :

17h17 : "Je comprends les doutes qui peuvent exprimer", a-t-il dit alors que sa cote de confiance ne cesse de s'éroder dans les sondages. "La seule question qui vaille à mes yeux, ce n'est pas l'état de l'opinion aujourd'hui, c'est l'état de la France dans cinq ans", a souligné le président de la République.

17h14 : L'Europe et le FMI doivent apporter leur soutien à la Grèce, selon François Hollande.

Le président de la République a estimé que la France avait "réduit l'écart avec l'Allemagne de près de 40%", alors qu'il revenait sur les taux d'intérêt appliqués à l'Hexagone.

Lire les détails de sa déclaration : Hollande assure que "les rapports avec l'Allemagne sont bons".

17h13 : Le Président se défend de tout "virage" dans sa politique.
>Lire les détails de sa déclaration : François Hollande récuse tout "virage" dans sa politique.
> Voir la vidéo :

17h10 : Le Président égrenne ses choix : "Le second choix que j'ai fait pour le pays : c'est le désentemment", "un effort inédit est engagé pour trouver la maîtrise de nos dépenses".

17h08 : "Depuis 6 mois, j'ai fait mes choix, et je m'y tiens", dit-t-il. "Ma mission est de parvenir à redresser la croissance et à réduite le chômage", ajoute le chef de l'Etat. Selon lui, "une alternance change le pouvoir, mais pas la réalité".
> Voir la vidéo :

17h05 : Le Président rappelle les engagements et les premières mesures de son quinquennat. "Depuis le 15 mai, bien des engagements ont été tenus", indique-t-il. Cependant, "la situation est grave" car "la dépense publique atteint aujourd'hui 57 % de la richesse nationale".

17h03 : Arrivée de François Hollande. "Mon engagement était de rendre compte tous les 6 mois de l'action que je conduis pour le pays", expique-t-il d'abord.  

16h55 : Tous les ministres sont venus écouter François Hollande. Au premier rang, Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Cécile Duflot, Christiane Taubira, Vincent Peillon et le Premier ministre.

16h47 : 394 journalistes seraient à l'Elysée pour poser des questions au chef de l'Etat.

16h45 : Quelques minutes avant le début de la conférence de presse, retour sur l'analyse de Christophe Jakubyszyn, nouveau chef du service politique de TF1. Sur le plateau du journal de 13h, il a fait le point sur les enjeux de cet exercice pour le chef de l'Etat.  

16h30 :  Twitter se demande si Manuel Valls n'a pas voulu voler la vedette au Président avec une séance houleuse à l'Assemblée nationale mardi et une passe d'arme entre le député UMP Eric Ciotti et Manuel Valls à propos des chiffres de la délinquance. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

16h : les journalistes sont déjà arrivés sur place. Vous pouvez suivre sur Twitter  nos journalistes présents à l'Elysée, notamment Valérie Nataf @vnataf.

La conférence de presse de François Hollande le 13 novembre à L'Elysée.

Environ 400 journalistes français et étrangers, selon la présidence, sont attendus pour l'occasion dans le cadre solennel de la grande salle des fêtes de l'Elysée où se tiennent traditionnellement depuis de Gaulle ces grand-messes républicaines qui scandent la vie politique française et donnent le ton d'un mandat.

Le chef de l'Etat français qui a sensiblement accéléré le tempo de l'exécutif depuis une semaine, entend repartir à la conquête de l'opinion et tordre le cou aux critiques de la droite, de la gauche de la gauche et de la presse, lui reprochant hésitations, atermoiements ou renonciations.

Lire aussi :
Grand oral de François Hollande : "Il a le droit d'avoir le trac"
Le Drian : François Hollande doit à présent "affirmer la vision"
François Hollande prêt à passer à la "phase d'action"

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  • clementine1218 : "J'ai connu des situations tellement plus difficile " heu quoi , ça séparation , la réduction de son train de vie financier mais encore ?
    Le 14 Novembre 2012 à 02h19

     | J'aime (1) | Répondre (0)

  • kosotto1 : Mardi 08 janvier 2008. Sarkozy donne sa première conférence de presse dans la salle des fêtes de l'Elysée à ....11 heures !
    Le 14 Novembre 2012 à 01h08

     | J'aime (0) | Répondre (1)

    • clementine1218 : Heu et ça c'est un argument percutant ?
      Le 14 Novembre 2012 à 02h39

       | J'aime (1)

  • riviera13 : Le droit de vote des étrangers mérite un référendum !!!!
    Le 13 Novembre 2012 à 19h11

     | J'aime (6) | Répondre (3)

    • venanstsius : @syberia, je veux le droit de vote s chaque pays de l'union européenne! bah quoi, j'ai le droit!
      Le 13 Novembre 2012 à 22h40

       | J'aime (0)

    • mcg35 : @riviera13 - Bien sûr que oui! Mais la Gauche est parfaitement consciente de ce qu'un référendum sur la question serait négatif ... Donc ... Pas de référendum, et passage "en force", sans tenir compte de l'avis du peuple.
      Le 13 Novembre 2012 à 21h56

       | J'aime (4)

  • inf3 : C'est plutôt étonnant.
    Le 13 Novembre 2012 à 19h10

     | J'aime (0) | Répondre (0)

  • 1valmo : seul compte l'état de la france dans cinq ans ! ben voyons, on hiberne en attendant !
    Le 13 Novembre 2012 à 19h10

     | J'aime (3) | Répondre (0)

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Face à une crise qui dure, à une confiance des Français en baisse et à une série de sondages en berne, François Hollande compte sur sa conférence de presse de mardi pour inverser la tendance. Elle débutera à 17 heures à l'Elysée, et TF1News la suit en direct tout au long des deux heures que doit durer l'exercice, crucial pour le chef de l'Etat. Au menu : une "adresse" du président aux Français, d'une vingtaine de minutes ; à la suite de quoi François Hollande répondra aux questions des journalistes.

19h27 : La conférence de presse prend fin. François Hollande va saluer les journalistes dans la salle.

19h26 : "Sur la réforme du statut des fonctionnaires, il n'est pas question de revenir sur le statu, ni pour le fonctionnaires de l'Etat, ni pour les fonctionnaires territoriaux".

19h25 : Nord du Mali : "un dialogue politique est engagé".

19h20 :  Une question sur les otages Français en Afrique.6 Français sont retenus au Mali et un en somalie. François Hollande indique que "yous les contacts sont pris, toutes les recherches sont engagées, même si nous savons que c'est très difficile". "Nous n'allons pas mettre en cause la politique de la France, donc sa sécurité".

19h14 : Quel est le nouvel cap de l'Europe, demande un journaliste. "Le mécanisme européen de stabilité est aujoud'hui en marche", explique le chef de l'Etat.

19h10 : Une question d'une journaliste chinoise : "Quelles sont vos stratégies et vos relations avec l'Asie ?" "Nous devons poser des règles de réciprocité commerciale, de protection d'un certain nombre de nos technologies", a indique le chef de l'Etat.

19h05 : Une question est posée sur Aurore Martin. "A aucun moment, je n'ai donné une consigne pour qu'elle soit contrôlée par qui que ce soit", indique le chef de l'Etat. "Aurore Martin relève maintenant de la justice espagne".

Les condamnations avaient afflué après l'interpellation de la militante de Batasuna Aurore Martin, première Française remise à l'Espagne dans une affaire basque, de nombreuses critiques visant ouvertement le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

19h00 : "La Grèce a fait l'effort qui lui avait ét demandé et ne peut pas faire davantage. Reste une question : comment accorder un délai à la Grèce sans que cela coûte quoi que ce soit ?", explique-t-il.  

18h59 : Place à une question d'un journaliste du New-York Times sur la dette en Europe.

18h54 : Après la Syrie, une question sur le Mali. "La situation était suffisamment grave pour aider les Africains à s'organiser pour faire à cette menace" d'AQMI. "En aucun cas, la France n'interviendra seule au Mali".  

18h52 : Concernant une possible intervention en Syrie, il indique qu''il n'y aura d'intervention que si la convention le souhaite". 

18h50 : "Une coalition s'est formée. La France reconnait la convention nationale syrienne, comme le futur gouvernement de la Syrie démocratique". "Partout où des zones libérées auront été constituées, elles devront être sous cette autorité", explique-t-il.

18h40 : "Nous nous parlons franchement avec la chancelière" et "personne ne fait de leçon à personne", indique-t-il. "Je suis pour que la zone euro devienne une force en tant que telle", ajoute-t-il.

Lire les détails sur la question de l'Allemagne : Hollande assure que les relations avec l'Allemagne sont bonnes.

18h37 : Une question est posée sur les relations franco-allemande, alors que François Hollande a essentiellement parlé de politique intérieur.

18h30 : "Nous allons vivre une hausse continue du chômage pendant un an. Cela va être difficile à vivre". Mais "il y aune négociation historique sur le marché de l'emploi", assure-t-il. "Je reprends l'objectif" d'inverser la courbe du chômage d'ici à fin 2013".

Concernant le rapport Gallois : "Coût du travail : si nous avons demandé un rapport à M.Gallois, ce n'est pas pour écarter la question".

18h25 : "Je respecte la liberté de presse", indique-t-il après une question sur les mauvaises "une" des journaux ces derniers mois.

18h16 : Où le chef de l'Etat compte faire des économies ? "C'est une réforme de l'Etat, de la protection sociale et de notre organisation territoriale". "J'ai pris l'engagement de créer des postes dans l'éducation, il y aura des suppressions ailleurs", ajoute-t-il.

18h15 : A la question de savoir quel Président il est, François Hollande répond : "Je suis un Président qui ne veut pas opposer les Français entre eux", "un président qui n'est pas chef de parti".

18h10 : Au tour de notre journaliste de TF1 et de LCI de poser une question concernant la séance houleuse au Parlement cette après-midi. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

Hollande demande à Valls et à la droite de ne pas se diviser sur le terrorisme. 

Lire les détails : Terrorisme : après les propos de Valls, Hollande appelle à l'unité.

18h08 : Une question est posée sur une de ses promesses de campagne : le droit de vote des étrangers : "Ce n'est pas le Président de la république qui décide du droit de vote". Il attend qu'une "majorité sera constituée".

Lire les détails : pas de droit de vote des étrangers sans majorité des 3/5.

18h05 : Une question est posée sur sa politique énergétique. "Gaz de schiste : il y a eu une moi en 2011", indique-t-il. Hollande demande aux Verts et aux Radicaux de gauche d'être "solidaires". Hollande rappelle que la recherche d'autres techniques "continue".

Lire les détails : Gaz de schiste : Hollande ferme mais pas définitif.

18h : François Hollande a renouvelé sa confiance à son Premier ministre."Jai choisi Jean-marc Ayrault car j'ai une grande confiance en lui, (...) Il est loyal, sérieux, dévoué, dévoué à la cause puiblique, et sérieux. Il est maire d'une grande ville", a-t-il indiqué. "Je lui renouvelle ici toute ma confiance", précise le Chef de l'Etat.

Lire les dérails : Pour Hollande, Ayrault est "sérieux, loyal, dévoué et concret"
 

> Voir l'extrait vidéo :

17h54 : "Je n'ai pas été élu sur une promesse vague (...)", explique-t-il. Je suis un Président pleinement responsable, mais qui ne décide pas de tout".

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17h51 : Seconde question d'un journaliste sur la rassemblement des Français.

17h50 : "Pas de pause, pas de renoncements, assure-t-il. J'assume devant les Français".

17h48 : Après 45 minutes de discours, les journalistes commencent à poser leurs questions.

17h44 : "Le redressement prendra du temps", dit-il.

17h40 : "Le renouveau passe aussi par la démocratie", par la "modernisation de la vie politique", et l'"indépendance de la justice", explique François Hollande.

17h35 : "Nous devons agir et je le fais dans l'urgence, c'est le but des emplois d'avenir".

17h34 : "Toute ma stratégie, c'est une mobilisation contre la chômage", indique-t-il. "Tout a été dit, mais tout n'a pas été tenté", selon lui.

17h31 : "Nous poursuivrons les réfomes structurelles, c'est -à-dire celles qui concernent les banques". La réforme "séparera les activités de dépôt, de crédit, que les Français connaissent, qui les rassurent, de celles liées à la spéculation, qui les inquiètent", a dit François Hollande. "Elle interdira aussi les produits toxiques et mettra de l'ordre dans les rémunérations comme dans les bonus."

17h27 : François Hollande aborde la mesure polémique de la hausse de la TVA. Il annonce "une restructuration des taux de TVA, au 1er janvier 2014, qui va passer de "0,4 %, 19,6 à 20 %". La TVA dans la restauration fixée "une fois pour toutes" à 10%.

Lire les détails : TVA, impôts.. Les explications de François Hollande.

17h25 : "Ce pacte s'étalera sur trois ans".

17h24 : "On m'avait dit, il faut faire un choc, ça faisait chic parait-il. Un choc, mais l'économie n'aime pas les chocs".

17h20 : François Hollande insiste sur la compétitivité. Il évoque le crédit d'impôts de 20 milliards d'euro accordé aux entreprises, un crédit "qui aura un effet immédiat dès le 1er janvier", selon lui. "Ce n'est pas un cadeau, mais un levier qui offre aux salariés un moyen de traverser la crise". "C'est un pacte de confiance, ajoute-t-il. Ce pacte sera simple, sans formalité administrative".
>Lire les détails de sa déclaration sur la compétitivité : "La compétitivité, c'est l'emploi". 
> Voir l'extrait vidéo :

17h17 : "Je comprends les doutes qui peuvent exprimer", a-t-il dit alors que sa cote de confiance ne cesse de s'éroder dans les sondages. "La seule question qui vaille à mes yeux, ce n'est pas l'état de l'opinion aujourd'hui, c'est l'état de la France dans cinq ans", a souligné le président de la République.

17h14 : L'Europe et le FMI doivent apporter leur soutien à la Grèce, selon François Hollande.

Le président de la République a estimé que la France avait "réduit l'écart avec l'Allemagne de près de 40%", alors qu'il revenait sur les taux d'intérêt appliqués à l'Hexagone.

Lire les détails de sa déclaration : Hollande assure que "les rapports avec l'Allemagne sont bons".

17h13 : Le Président se défend de tout "virage" dans sa politique.
>Lire les détails de sa déclaration : François Hollande récuse tout "virage" dans sa politique.
> Voir la vidéo :

17h10 : Le Président égrenne ses choix : "Le second choix que j'ai fait pour le pays : c'est le désentemment", "un effort inédit est engagé pour trouver la maîtrise de nos dépenses".

17h08 : "Depuis 6 mois, j'ai fait mes choix, et je m'y tiens", dit-t-il. "Ma mission est de parvenir à redresser la croissance et à réduite le chômage", ajoute le chef de l'Etat. Selon lui, "une alternance change le pouvoir, mais pas la réalité".
> Voir la vidéo :

17h05 : Le Président rappelle les engagements et les premières mesures de son quinquennat. "Depuis le 15 mai, bien des engagements ont été tenus", indique-t-il. Cependant, "la situation est grave" car "la dépense publique atteint aujourd'hui 57 % de la richesse nationale".

17h03 : Arrivée de François Hollande. "Mon engagement était de rendre compte tous les 6 mois de l'action que je conduis pour le pays", expique-t-il d'abord.  

16h55 : Tous les ministres sont venus écouter François Hollande. Au premier rang, Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Cécile Duflot, Christiane Taubira, Vincent Peillon et le Premier ministre.

16h47 : 394 journalistes seraient à l'Elysée pour poser des questions au chef de l'Etat.

16h45 : Quelques minutes avant le début de la conférence de presse, retour sur l'analyse de Christophe Jakubyszyn, nouveau chef du service politique de TF1. Sur le plateau du journal de 13h, il a fait le point sur les enjeux de cet exercice pour le chef de l'Etat.  

16h30 :  Twitter se demande si Manuel Valls n'a pas voulu voler la vedette au Président avec une séance houleuse à l'Assemblée nationale mardi et une passe d'arme entre le député UMP Eric Ciotti et Manuel Valls à propos des chiffres de la délinquance. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

16h : les journalistes sont déjà arrivés sur place. Vous pouvez suivre sur Twitter  nos journalistes présents à l'Elysée, notamment Valérie Nataf @vnataf.

La conférence de presse de François Hollande le 13 novembre à L'Elysée.

Environ 400 journalistes français et étrangers, selon la présidence, sont attendus pour l'occasion dans le cadre solennel de la grande salle des fêtes de l'Elysée où se tiennent traditionnellement depuis de Gaulle ces grand-messes républicaines qui scandent la vie politique française et donnent le ton d'un mandat.

Le chef de l'Etat français qui a sensiblement accéléré le tempo de l'exécutif depuis une semaine, entend repartir à la conquête de l'opinion et tordre le cou aux critiques de la droite, de la gauche de la gauche et de la presse, lui reprochant hésitations, atermoiements ou renonciations.

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Grand oral de François Hollande : "Il a le droit d'avoir le trac"
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  • clementine1218 : "J'ai connu des situations tellement plus difficile " heu quoi , ça séparation , la réduction de son train de vie financier mais encore ?
    Le 14 Novembre 2012 à 02h19

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  • kosotto1 : Mardi 08 janvier 2008. Sarkozy donne sa première conférence de presse dans la salle des fêtes de l'Elysée à ....11 heures !
    Le 14 Novembre 2012 à 01h08

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    • clementine1218 : Heu et ça c'est un argument percutant ?
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  • riviera13 : Le droit de vote des étrangers mérite un référendum !!!!
    Le 13 Novembre 2012 à 19h11

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    Le 13 Novembre 2012 à 19h10

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  • 1valmo : seul compte l'état de la france dans cinq ans ! ben voyons, on hiberne en attendant !
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Mis en ligne le 13 novembre 2012 à 15h30, mis à jour le 13 novembre 2012 à 20h20
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Tags :  françois hollande , jean-marc ayrault , stéphane le foll , réformes , ump , tva , ps
Pour sa première grande conférence de presse, François Hollande a rappellé ses engagements et les premières mesures de son quinquennat : compétitivité, chômage, gaz de schiste, mariage homosexuel ou encore les déficits. Un grand rendez-vous à suivre en direct sur TF1News.

Face à une crise qui dure, à une confiance des Français en baisse et à une série de sondages en berne, François Hollande compte sur sa conférence de presse de mardi pour inverser la tendance. Elle débutera à 17 heures à l'Elysée, et TF1News la suit en direct tout au long des deux heures que doit durer l'exercice, crucial pour le chef de l'Etat. Au menu : une "adresse" du président aux Français, d'une vingtaine de minutes ; à la suite de quoi François Hollande répondra aux questions des journalistes.

19h27 : La conférence de presse prend fin. François Hollande va saluer les journalistes dans la salle.

19h26 : "Sur la réforme du statut des fonctionnaires, il n'est pas question de revenir sur le statu, ni pour le fonctionnaires de l'Etat, ni pour les fonctionnaires territoriaux".

19h25 : Nord du Mali : "un dialogue politique est engagé".

19h20 :  Une question sur les otages Français en Afrique.6 Français sont retenus au Mali et un en somalie. François Hollande indique que "yous les contacts sont pris, toutes les recherches sont engagées, même si nous savons que c'est très difficile". "Nous n'allons pas mettre en cause la politique de la France, donc sa sécurité".

19h14 : Quel est le nouvel cap de l'Europe, demande un journaliste. "Le mécanisme européen de stabilité est aujoud'hui en marche", explique le chef de l'Etat.

19h10 : Une question d'une journaliste chinoise : "Quelles sont vos stratégies et vos relations avec l'Asie ?" "Nous devons poser des règles de réciprocité commerciale, de protection d'un certain nombre de nos technologies", a indique le chef de l'Etat.

19h05 : Une question est posée sur Aurore Martin. "A aucun moment, je n'ai donné une consigne pour qu'elle soit contrôlée par qui que ce soit", indique le chef de l'Etat. "Aurore Martin relève maintenant de la justice espagne".

Les condamnations avaient afflué après l'interpellation de la militante de Batasuna Aurore Martin, première Française remise à l'Espagne dans une affaire basque, de nombreuses critiques visant ouvertement le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

19h00 : "La Grèce a fait l'effort qui lui avait ét demandé et ne peut pas faire davantage. Reste une question : comment accorder un délai à la Grèce sans que cela coûte quoi que ce soit ?", explique-t-il.  

18h59 : Place à une question d'un journaliste du New-York Times sur la dette en Europe.

18h54 : Après la Syrie, une question sur le Mali. "La situation était suffisamment grave pour aider les Africains à s'organiser pour faire à cette menace" d'AQMI. "En aucun cas, la France n'interviendra seule au Mali".  

18h52 : Concernant une possible intervention en Syrie, il indique qu''il n'y aura d'intervention que si la convention le souhaite". 

18h50 : "Une coalition s'est formée. La France reconnait la convention nationale syrienne, comme le futur gouvernement de la Syrie démocratique". "Partout où des zones libérées auront été constituées, elles devront être sous cette autorité", explique-t-il.

18h40 : "Nous nous parlons franchement avec la chancelière" et "personne ne fait de leçon à personne", indique-t-il. "Je suis pour que la zone euro devienne une force en tant que telle", ajoute-t-il.

Lire les détails sur la question de l'Allemagne : Hollande assure que les relations avec l'Allemagne sont bonnes.

18h37 : Une question est posée sur les relations franco-allemande, alors que François Hollande a essentiellement parlé de politique intérieur.

18h30 : "Nous allons vivre une hausse continue du chômage pendant un an. Cela va être difficile à vivre". Mais "il y aune négociation historique sur le marché de l'emploi", assure-t-il. "Je reprends l'objectif" d'inverser la courbe du chômage d'ici à fin 2013".

Concernant le rapport Gallois : "Coût du travail : si nous avons demandé un rapport à M.Gallois, ce n'est pas pour écarter la question".

18h25 : "Je respecte la liberté de presse", indique-t-il après une question sur les mauvaises "une" des journaux ces derniers mois.

18h16 : Où le chef de l'Etat compte faire des économies ? "C'est une réforme de l'Etat, de la protection sociale et de notre organisation territoriale". "J'ai pris l'engagement de créer des postes dans l'éducation, il y aura des suppressions ailleurs", ajoute-t-il.

18h15 : A la question de savoir quel Président il est, François Hollande répond : "Je suis un Président qui ne veut pas opposer les Français entre eux", "un président qui n'est pas chef de parti".

18h10 : Au tour de notre journaliste de TF1 et de LCI de poser une question concernant la séance houleuse au Parlement cette après-midi. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

Hollande demande à Valls et à la droite de ne pas se diviser sur le terrorisme. 

Lire les détails : Terrorisme : après les propos de Valls, Hollande appelle à l'unité.

18h08 : Une question est posée sur une de ses promesses de campagne : le droit de vote des étrangers : "Ce n'est pas le Président de la république qui décide du droit de vote". Il attend qu'une "majorité sera constituée".

Lire les détails : pas de droit de vote des étrangers sans majorité des 3/5.

18h05 : Une question est posée sur sa politique énergétique. "Gaz de schiste : il y a eu une moi en 2011", indique-t-il. Hollande demande aux Verts et aux Radicaux de gauche d'être "solidaires". Hollande rappelle que la recherche d'autres techniques "continue".

Lire les détails : Gaz de schiste : Hollande ferme mais pas définitif.

18h : François Hollande a renouvelé sa confiance à son Premier ministre."Jai choisi Jean-marc Ayrault car j'ai une grande confiance en lui, (...) Il est loyal, sérieux, dévoué, dévoué à la cause puiblique, et sérieux. Il est maire d'une grande ville", a-t-il indiqué. "Je lui renouvelle ici toute ma confiance", précise le Chef de l'Etat.

Lire les dérails : Pour Hollande, Ayrault est "sérieux, loyal, dévoué et concret"
 

> Voir l'extrait vidéo :

17h54 : "Je n'ai pas été élu sur une promesse vague (...)", explique-t-il. Je suis un Président pleinement responsable, mais qui ne décide pas de tout".

Evoquant les sujets de société, il indique que pour le "mariage homosexuel : ce texte viendra au Parlement". 

17h51 : Seconde question d'un journaliste sur la rassemblement des Français.

17h50 : "Pas de pause, pas de renoncements, assure-t-il. J'assume devant les Français".

17h48 : Après 45 minutes de discours, les journalistes commencent à poser leurs questions.

17h44 : "Le redressement prendra du temps", dit-il.

17h40 : "Le renouveau passe aussi par la démocratie", par la "modernisation de la vie politique", et l'"indépendance de la justice", explique François Hollande.

17h35 : "Nous devons agir et je le fais dans l'urgence, c'est le but des emplois d'avenir".

17h34 : "Toute ma stratégie, c'est une mobilisation contre la chômage", indique-t-il. "Tout a été dit, mais tout n'a pas été tenté", selon lui.

17h31 : "Nous poursuivrons les réfomes structurelles, c'est -à-dire celles qui concernent les banques". La réforme "séparera les activités de dépôt, de crédit, que les Français connaissent, qui les rassurent, de celles liées à la spéculation, qui les inquiètent", a dit François Hollande. "Elle interdira aussi les produits toxiques et mettra de l'ordre dans les rémunérations comme dans les bonus."

17h27 : François Hollande aborde la mesure polémique de la hausse de la TVA. Il annonce "une restructuration des taux de TVA, au 1er janvier 2014, qui va passer de "0,4 %, 19,6 à 20 %". La TVA dans la restauration fixée "une fois pour toutes" à 10%.

Lire les détails : TVA, impôts.. Les explications de François Hollande.

17h25 : "Ce pacte s'étalera sur trois ans".

17h24 : "On m'avait dit, il faut faire un choc, ça faisait chic parait-il. Un choc, mais l'économie n'aime pas les chocs".

17h20 : François Hollande insiste sur la compétitivité. Il évoque le crédit d'impôts de 20 milliards d'euro accordé aux entreprises, un crédit "qui aura un effet immédiat dès le 1er janvier", selon lui. "Ce n'est pas un cadeau, mais un levier qui offre aux salariés un moyen de traverser la crise". "C'est un pacte de confiance, ajoute-t-il. Ce pacte sera simple, sans formalité administrative".
>Lire les détails de sa déclaration sur la compétitivité : "La compétitivité, c'est l'emploi". 
> Voir l'extrait vidéo :

17h17 : "Je comprends les doutes qui peuvent exprimer", a-t-il dit alors que sa cote de confiance ne cesse de s'éroder dans les sondages. "La seule question qui vaille à mes yeux, ce n'est pas l'état de l'opinion aujourd'hui, c'est l'état de la France dans cinq ans", a souligné le président de la République.

17h14 : L'Europe et le FMI doivent apporter leur soutien à la Grèce, selon François Hollande.

Le président de la République a estimé que la France avait "réduit l'écart avec l'Allemagne de près de 40%", alors qu'il revenait sur les taux d'intérêt appliqués à l'Hexagone.

Lire les détails de sa déclaration : Hollande assure que "les rapports avec l'Allemagne sont bons".

17h13 : Le Président se défend de tout "virage" dans sa politique.
>Lire les détails de sa déclaration : François Hollande récuse tout "virage" dans sa politique.
> Voir la vidéo :

17h10 : Le Président égrenne ses choix : "Le second choix que j'ai fait pour le pays : c'est le désentemment", "un effort inédit est engagé pour trouver la maîtrise de nos dépenses".

17h08 : "Depuis 6 mois, j'ai fait mes choix, et je m'y tiens", dit-t-il. "Ma mission est de parvenir à redresser la croissance et à réduite le chômage", ajoute le chef de l'Etat. Selon lui, "une alternance change le pouvoir, mais pas la réalité".
> Voir la vidéo :

17h05 : Le Président rappelle les engagements et les premières mesures de son quinquennat. "Depuis le 15 mai, bien des engagements ont été tenus", indique-t-il. Cependant, "la situation est grave" car "la dépense publique atteint aujourd'hui 57 % de la richesse nationale".

17h03 : Arrivée de François Hollande. "Mon engagement était de rendre compte tous les 6 mois de l'action que je conduis pour le pays", expique-t-il d'abord.  

16h55 : Tous les ministres sont venus écouter François Hollande. Au premier rang, Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Cécile Duflot, Christiane Taubira, Vincent Peillon et le Premier ministre.

16h47 : 394 journalistes seraient à l'Elysée pour poser des questions au chef de l'Etat.

16h45 : Quelques minutes avant le début de la conférence de presse, retour sur l'analyse de Christophe Jakubyszyn, nouveau chef du service politique de TF1. Sur le plateau du journal de 13h, il a fait le point sur les enjeux de cet exercice pour le chef de l'Etat.  

16h30 :  Twitter se demande si Manuel Valls n'a pas voulu voler la vedette au Président avec une séance houleuse à l'Assemblée nationale mardi et une passe d'arme entre le député UMP Eric Ciotti et Manuel Valls à propos des chiffres de la délinquance. Interpellé par Eric Ciotti sur les chiffres "historiquement mauvais" de la délinquance, Manuel Valls a rétorqué : "Le retour du terrorisme dans ce pays c'est vous, la division des Français c'est vous". 

16h : les journalistes sont déjà arrivés sur place. Vous pouvez suivre sur Twitter  nos journalistes présents à l'Elysée, notamment Valérie Nataf @vnataf.

La conférence de presse de François Hollande le 13 novembre à L'Elysée.

Environ 400 journalistes français et étrangers, selon la présidence, sont attendus pour l'occasion dans le cadre solennel de la grande salle des fêtes de l'Elysée où se tiennent traditionnellement depuis de Gaulle ces grand-messes républicaines qui scandent la vie politique française et donnent le ton d'un mandat.

Le chef de l'Etat français qui a sensiblement accéléré le tempo de l'exécutif depuis une semaine, entend repartir à la conquête de l'opinion et tordre le cou aux critiques de la droite, de la gauche de la gauche et de la presse, lui reprochant hésitations, atermoiements ou renonciations.

Lire aussi :
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  • clementine1218 : "J'ai connu des situations tellement plus difficile " heu quoi , ça séparation , la réduction de son train de vie financier mais encore ?
    Le 14 Novembre 2012 à 02h19

     | J'aime (1) | Répondre (0)

  • kosotto1 : Mardi 08 janvier 2008. Sarkozy donne sa première conférence de presse dans la salle des fêtes de l'Elysée à ....11 heures !
    Le 14 Novembre 2012 à 01h08

     | J'aime (0) | Répondre (1)

    • clementine1218 : Heu et ça c'est un argument percutant ?
      Le 14 Novembre 2012 à 02h39

       | J'aime (1)

  • riviera13 : Le droit de vote des étrangers mérite un référendum !!!!
    Le 13 Novembre 2012 à 19h11

     | J'aime (6) | Répondre (3)

    • venanstsius : @syberia, je veux le droit de vote s chaque pays de l'union européenne! bah quoi, j'ai le droit!
      Le 13 Novembre 2012 à 22h40

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    • mcg35 : @riviera13 - Bien sûr que oui! Mais la Gauche est parfaitement consciente de ce qu'un référendum sur la question serait négatif ... Donc ... Pas de référendum, et passage "en force", sans tenir compte de l'avis du peuple.
      Le 13 Novembre 2012 à 21h56

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  • inf3 : C'est plutôt étonnant.
    Le 13 Novembre 2012 à 19h10

     | J'aime (0) | Répondre (0)

  • 1valmo : seul compte l'état de la france dans cinq ans ! ben voyons, on hiberne en attendant !
    Le 13 Novembre 2012 à 19h10

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